L’IRG propose ici différents regards, expériences et témoignages pour illustrer, questionner et ouvrir les thèmes qu’il traite dans le cadre de ses activités
Coordonné par l’IRG, le Parcours international de débat et de propositions sur la gouvernance vise à identifier et comprendre les sources effectives de légitimité du pouvoir (traditions, religions et rapports au sacré, droits, etc.) et leurs interactions dans différentes sous-région du monde. De manière plus globale, il s’agit d’analyser les modalités possibles d’articulations constructives entre ces sources de légitimité afin de favoriser l’élaboration d’une régulation partagée au sein d’une société donnée.
Initié en 2007 à Bamako (Mali), le Parcours a ensuite sillonné le continent africain avec les rencontres de Polokwane-Pretoria (Afrique du sud) en 2008, Arusha (Tanzanie) en 2009, Yaoundé (Cameroun) en 2010 et Tunis (Tunisie) en 2012. Il s’est également internationalisé avec les rencontres de Lima (Pérou) en 2009 et de Sarrebruck (Allemagne) en 2011. Il nous a conduit à Addis-Abeba à la fin du mois de novembre 2012.
Cette activité est soutenue par la Fondation Charles-Léopold Mayer pour le progrès de l’Homme (FPH) et le ministère français des Affaires étrangères. Le Parcours est coordonné par l’IRG et bénéficie de l’appui ponctuel de partenaires locaux.
La rencontre de Tunis est la cinquième étape du Parcours pour le continent africain. Elle était dédiée à cinq pays de la sous-région nord-africaine (l’Algérie, l’Égypte, la Libye, le Maroc et la Tunisie).
Comme lors des étapes précédentes, la rencontre s’est caractérisée par le croisement de regards, de cultures, de disciplines et d’acteurs.
Une cinquantaine de représentants de la société civile, du secteur privé, des chefs religieux, des personnalités politiques, institutionnelles etc. sont venus de la sous-région nord-africaine, d’Europe, d’Amérique latine et du Nord, d’Afrique subsaharienne échanger leurs expériences au coeur d’une actualité qui confirme l’urgence d’identifier des processus et vecteurs de gouvernance démocratique légitime.
28 & 29 Novembre 2012
La rencontre d’Addis-Abeba visait à ouvrir une réflexion interculturelle et à élaborer des propositions pour favoriser la prise en compte de la diversité par l’action publique, à travers le cas des Constitutions et des droits de l’Homme.
Notre rencontre répondait à deux objectifs :
Note conceptuelle de la rencontre d’Addis-Abeba.
Diversité et action publique, défi de la gouvernance démocratique légitime, actes de la rencontre.
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